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Quand la généalogie de la famille ABEILHOU
rencontre (et raconte) l'histoire locale

Cet ouvrage généalogique consacré à sa belle-famille, les Abeilhou, lui a fait remonter les ans et les siècles et n'a pu être réalisé que grâce à un long travail de recherches et de patience... Il ne fait pas le seul descriptif et récapitulatif des femmes et des hommes de cette famille. Il situe les personnages dans leur lieu, dans leur époque, dans leur travail, dans leur vie... Et si Entre-Nous s'est emparé de ces écrits, c'est parce que les Abeilhou, du moins le premier, Guilhaume, mentionné dans le registre paroissial et les minutes du notaire, décède à Villebrumier et permet ainsi de belles recherches généalogiques et historiques à laquelle s'attache Claudine.
Je vais essayer de vous restituer ce long chemin sans trop m'immiscer dans la vie de la famille.

De Villemetmeri à la bastide royale
    Villebrumier est l'antique Villa (qui désigne un lieu) Berhtami (ou domaine, du germanique Berthtmar). L'endroit devient Villemetmeri dans un manuscrit daté de 837. A l'époque médiévale, l'église est citée sous le nom de Sanctus Theodardus Villa-Bermierii qui subira l'attraction du nom commun "brume" pour devenir VILLEBRUMIER. Bastide royale en 1271, elle passe sous la dépendance du baron de Verlhac, seigneur protestant en 1571. Seigneur qui s'engage à respecter les privilèges et coutumes de la communauté catholique majoritaire à Villebrumier qui va traverser les vicissitudes de l'histoire liées aux places fortes protestantes de Villemur et Montauban. C'est pendant cette période troublée (les guerres de religions) que le baron de Verlhac vend une partie de Villebrumier au seigneur de Lacour Saint Pierre et l'autre au vicomte de Villemur qui la revend au roi.
    En 1626, le duc de Vendôme à la tête des troupes royales catholiques, répliquant au pillage des environs par les protestants montalbanais, détruit Villebrumier pourtant catholique mais propriété d'un seigneur protestant. Le village est reconstruit et les charpentiers y participent activement. Charles VII a donné à cette confrérie des nouveaux statuts lui conférant des règles très rigoureuses et des privilèges exclusifs.

Sous l'Ancien Régime
    Le village retrouve peu à peu sa prospérité et le roi Louis XIV rétablit à partir de 1660 les foires et marchés : 1er mai, 10 août et 1er décembre " afin que les habitants puissent écouler grains, bestiaux et autres denrées qui croissent aux environs du dit lieu ". Il existe sur le Tarn un port et un important trafic de gabares.
    L'on retrouve au fil des pages, à la lecture des actes notariés dressés à l'occasion des décès ou des mariages des Abeilhou, des noms de lieux-dits qui nous restent familiers : Tournayre, les Pradassins (devenues Las Pradasses), la Motte, Moulis, la Clède., Rouby.... Des contenances qui n'existent plus : ainsi, par exemple, une " rasée 2 coups " qui correspondent à 17 a 28 ca; des expressions qui permettent de délimiter des parcelles : "confortant au septentrion grand chemin allant du présent lieu à Moulis" ; ou bien : "confrontant le midi le chemin tendant du présent lieu à…" ; ou encore : "confrontant au levant patus de J.P., le midi le grand chemin allant de Tournayre à Villemur (…) couchant et septentrion les patus communs...".
    La livre est la monnaie de l'époque et permet les transactions sans oublier les conditions que doivent remplir les héritiers lors des dots ou des partages: "Il se charge de nourrir et entretenir, moyennant un sac de blé annuel qu'il prendra sur le blé qu'ils ont en commun". La rente sera acquittée auprès du seigneur du lieu, la taille auprès du roi.
    L'agriculture est la principale source de revenus du village. Le seigneur et les notables possèdent les terres qu'ils louent "à mi-fruits", fournissant la première année la semence, procurant un attelage et " bailhant " un pré pour le nourrir. Au lendemain de la révocation de l'édit de Nantes, en 1685, le château est soumis aux dragonnades et occupé par une garnison royale. Les années 1693, 1694 et 1695 sont catastrophiques à cause d'hivers très froids et des étés pourris. Pendant l'été 1694, se propage une épidémie de dysenterie qui décime des familles entières affaiblies par la malnutrition. Le curé Pendaries note le 25 juillet 1695 sur le registre paroissial : " Il tomba une si grande quantité de grêle qu'elle ravagea les grains qu'ils étaient en train de couper, emporta entièrement le vin et ne laissa pas une feuille aux arbres ni même les sarments des vignes ".
    Les Abeilhou traversent ces vicissitudes : on les sait charpentiers, tisserands, brassiers, tonnelier, éleveur, esclopier, cultivateur...

Des calamités effroyables au XVIIème siècle
L'abbé Pendaries continue à noter dans son registre paroissial, en début du XVIIème siècle, les accidents extraordinaires : " Le 18 octobre 1704 est venue une inondation d'eau dans le Tarn provenant de la neige fondue par le vent d'autan qui a emporté quantité de bois et d'arbres arrachés. Le même jour, Jean Calas, voulant arrêter un arbre fut emporté lui-même par la rapidité de l'eau et noyé". "...le 12 mars 1706, le soleil s'est éclipsé vers les neuf hueres du matin et l'éclipse a duré une grosse demi-heure, non que le soleil ait tout à fait éclipsé, mais plus de trois quart..". "...Le 7 janvier 1709 il commença à glacer. La glace continua et augmenta pendant quinze jours et jusqu'au 21 du dit mois avec une si grande quantité de neige que depuis le 9 du dit mois il continua de neiger jusqu'au 25 inclusivement... Les perdrix se laissaient prendre à la main... et on les bailhait pour six liards ou deux sols la pièce... Cette grande quantité de neige fut suivie d'un froid si extraordinaire qu'il augmenta pendant 15 jours d'une telle manière que tout se gelait dans les maisons jusqu'au pain. Quelque précaution que l'on prit, le vin gelait dans les barriques jusqu'à en faire sauter le fond quand il ne sortait pas par le trou du bondon. Certains mettaient le pain entre deux couettes mais il ne laissait pas de se glacer. Un jour il tomba un certain brouillard, même dans les maisons que toutes les murailles et parois luisaient comme de la glace. Le froid ne glaçait pas seulement les choses liquides. Il s'en prit encore aux arbres. On vit quantité de chênes qui se fendaient et crevassaient par le milieu de manière qu'il en restât bien peu qui ne pourrirent pas. Tous les noyers, amandiers, figuiers, la plupart des cerisiers moururent, les pruniers aussi et les pommiers... Je ne dois pas oublier les vignes qui moururent quasi toutes... Aussi n'y eut-il guère de vin pendant cinq ou six ans. Quelques jours après le temps s'adoucit et la neige se fondit où le soleil donnait. Les blés furent un peu découverts. Mais ensuite il se leva un vent de bise qui les fit mourir jusqu'à la racine. On fut obligé en plusieurs endroits de ressemer orge, palmoule ou millet. Notez qu'orge et palmoule réussirent si bien qu'en plusieurs endroits d'une rase il y en eut 8 à 9 sacs...  Le 22 du dit mois la glace de la rivière qui était de deux ou trois pans commença à fondre. Le 23, jour de mercredi, vers les 9 heures du soir, la glace se rompit et commença à descendre avec tant d'impétuosité et de bruit qu'il semblait que la terre tremblât et qu'il y eût de grands tonnerres. La glace écrasa et abîma le moulin, personne ne périt pourtant. Le blé fut fort cher et il y eut très grande misère et pauvreté... Toutes les nourrices perdirent le lait et il mourut beaucoup de petits enfants comme par famine... Il y eut pendant 3 ou 4 mois en plusieurs endroits un certain mal de pieds et de jambes qui outre la douleur très aiguë et très grande puanteur pourrissait tellement la chair que si on ne faisait pas amputation le mal suivait tellement que les os des jambes et des bras tombaient d'eux-mêmes ; Il se trouva plusieurs personnes qui se trouvèrent sans bras ni jambe. Dans les suites, on trouva quelque remède qui étant fait à bonne heure arrêtait le mal. Il y avait entre autres le curé de Falguières qui avait un souverain remède. Aussi il y accourait une grande foule de gens de toutes parts. Dans le commencement de cette maladie plusieurs personnes en moururent. Je vis plusieurs fois à Villemur une femme qui demandait l'aumône ayant ses deux bras morts et secs et tout noirs. Ce mal ne vint pas à Villebrumier mais il y en eut à Villemur, beaucoup à Villematier et La Madeleine, autour de Montauban et surtout à Négrepelisse et Montricoux”.
    La même année et le 27 septembre il y eut une très grosse inondation sur le Tarn et la Garonne. L'eau emporta les deux moulins de Villemur qui  restèrent 3 ou 4 ans à être remis en état à cause que la glace avait emporté une trentaine de canes (54,67 m) de la chaussée. La rivière semblait une forêt à cause d'une grande quantité d'arbres que l'eau avait arrachés et qu'elle emmenait.
Le 7 juin 1712 sur les trois ou quatre heures du soir, il y eut un si grand orage et il tomba une si grande abondance de grêle que quantités de vignes, sur le chemin de Villebrumier à Villemur, furent englouties et ensevelies dans la terre ou emportées dans la rivière. Le pont de Pontous fur renversé et emporté.
    Au mois de juillet 1720 une épidémie de peste sévit à Marseille et gagna le grand sud. Chaque voyageur devait avoir un bulletin de santé signé des consuls certifiant sa bonne santé "  sans aucun soupçon de peste ni autre maladie contagieuse". Le 8 septembre 1721, on monta la garde à Villebrumier : deux hommes à chaque porte, au Grand et au Petit Communal, du côté du château et près de la croix de la chapelle.
    Ces terribles catastrophes n'empêchent pas la vie de continuer. On apprend que la gestion des affaires locales est confiée aux consuls. Quatre consuls sont élus pour un an par l'assemblée des villageois groupant tous les chefs de famille. Ils sont choisis parmi les notables payant le plus d'impôts. Ils répartissent la taille (impôt royal) et disposent d'un pouvoir de police. Ils président les délibérations concernant les réparations ou constructions à faire à l'église ou aux autres bâtiments communautaires. Ainsi, le 12 mars 1719, chez le notaire Guillemot, peut-on lire que "les sieurs F. Vacquié, J. Clairac, P. Boysset et J. Abeilhou, consuls modernes de Villebrumier (...) ont bailhé à ferme pour les neuf ans prochains la métairie appelée les Balmes que laboureurs métayers seront tenus de bien travailler en bons pères de famille...".
    L'on apprend que pour se marier (en 1741 ) si la consanguinité entre futurs époux est du troisième ou quatrième degré, il faut une dispense de Monseigneur l'évêque de Montauban.
    La vigne, malgré les déboires connus en 1708, joue un rôle important dans la vie locale. S'il y a du vin il y a des tonneliers qui fabriquent des barriques, des douves, des robinets... et donc des gens qui coupent du bois.

Un père prolixe
    En 1742, le clocher de l'église bâtie en 1721 menace de s'écrouler. Il est démoli jusqu'au toit et élevé de 12 pieds de hauteur. Madame de Saint Géniez "seigneuresse du lieu fait la dépense qui va après trois cent livres".
    A cette même époque, une anecdote trouvée dans le registre paroissial : " On a fait venir dans cette ville, de Pétesbourg dans la Russie, du village de Wuendeskio, un paysan nommé Jacques Kivilof qui, par sa nombreuse famille qu'il avait eue de deux mariages, est l'objet de la curiosité générale. La première femme est accouchée quatre fois de quatre enfants, sept fois de trois enfants et dix fois de deux enfants qui font 57 de cette première femme. Celle qu'il a épousée en secondes noces a mis au monde trois fois trois enfants, elle est accouchée six fois de deux. Et elle est encore enceinte. Ce qui fait qu'il a eu de deux femmes 72 enfants, sans compter celui de la grossesse actuelle ". Edifiant. Le registre ne précise pas si Kivilof est resté longtemps dans la commune.
    La lecture de notre  recueil nous amène, à travers les époques, a prendre connaissance des dots qui sont soigneusement répertoriées dans les actes notariés. Tout y figure : les dots en argent, les apports en nature, leur description est précise. Ainsi en 1768, l'on trouve "trois cadis: l'un couleur cannelle, l'autre couleur ardoise, l'autre gris ; un habit de burat double pour le jour de la noce..."
En 1808, en marge d'un acte daté de 1768, l'on apprend que "émancipe et sort de sa puissance paternelle son fils acceptant (émancipation légale à trente ans) auquel effet veut qu'il puisse traiter, acquérir, jouir et faire disposer..."

Les colères du monde paysan
    Les actes notariaux ou les minutiers des notaires de Villebrumier et Reyniès continuent d'apporter leurs lots d'informations. Ainsi, notent-ils que des mouvements se font jour chez les paysans qui contestent les prélèvements démesurés et injustes. Ils s'opposent à la rapacité abusive de leur seigneur et de leur décimateur, le clergé. Ils décident "d'agir de concert et à frais communs". Nominativement inscrits chez le notaire, les contestataires confient à des syndics nommément désignés la charge de les défendre et de protester. Certains actes mentionnent, récapitulent les droits payables en argent, en sols ou en deniers. Ils énumèrent les redevances en nature comme les champarts qui pèsent sur la plupart des terres et particulièrement sur les vignes : c'est la neuvième partie de tout ce qui pourra croître à l'exception des menus grains qui ne sont perçus que pour un douzième. Il faut avertir le seigneur "  avant que de rien emporter pour qu'il puisse justement faire pourvoir ses droits ". Des procès se déroulent qui quasiment toujours déboutent les paysans et donnent raison au seigneur qui bénéficie de l'appui inconditionnel de la justice royale.
    La dîme due au clergé pèse lourd et représente sur-le-champ après les moissons la dixième ou onzième gerbe. Elle concerne aussi le bétail, la volaille, le vin, le lin, le chanvre, le foin, la paille et même les légumes.
    Les crises agricoles se multiplient de 1766 à 1789 dues à de nouvelles catastrophes naturelles : orages de grêle, inondations, grands froids. Le Tarn, en janvier 1789, est gelé et la débâcle des glaces rompt les digues des moulins. La misère à nouveau s'installe : famine, malnutrition, décès... Les brassiers, les travailleurs sans terre sont touchés. Les paysans s'endettent pour ensemencer et continuer à payer les impôts royaux et seigneuriaux. Ils veulent porter " litige " devant la justice. Ils ne cherchent plus à combattre les injustices par la violence mais en portant les affaires devant les juges.
    C'est aussi l'époque ou la francisation s'accélère même si l'occitan reste le moyen oral le plus répandu. L'autorité du seigneur vole en éclat et le clergé ne bénéficie plus du même prestige.
    Au printemps 1789, la rédaction des cahiers de doléances témoigne de la misère des campagnes et dénonce les privilèges de la noblesse et du clergé. En 1790, à Villebrumier, le banc du seigneur local est sorti de l'église et brûlé. Un attroupement a lieu autour du château mais une patrouille de volontaires sauve la construction de l'incendie. Les paysans conscients des changements irréversibles comptent bien perpétuer leur victoire et abolir les privilèges. L'on retrouve Pierre Gerla, notaire, dont on dit qu'il a une influence modérée. La terreur (1793/1794) ne semble pas s'être exercée sur le canton de Villebrumier.

Sous les différents régimes du XIXème siècle
    L'arrivée de Bonaparte réglemente l'économie, l'état prend en main le commerce, l'agriculture, les manufactures. La conjoncture est plus favorable. Les voies de communication s'améliorent. Napoléon est sacré empereur et les campagnes guerrières, victorieuses puis désastreuses, marquent les esprits. Ainsi peut-on noter que R. A., volontaire, a suivi l'empereur en Russie et alors que tout le monde à Villebrumier le croit mort ou disparu, il réapparaît en 1820 dans sa famille qui ne le reconnaît pas ! Il trouvera un frère qui lui ouvre sa porte et l'héberge. La Restauration arrive et il ne fait pas bon afficher ses liens avec le bonapartisme. L'homme vivra reclus le jour, ne sortant que la nuit. Il décédera en 1831.
Les assignats ont fait leur apparition lorsque la constituante en 1789 vend les biens nationaux. Ils sont en principe garantis. Mais ce papier-monnaie se déprécie au fil des ans et, avec le retour des Bourbons au pouvoir, il devient sans valeur. Les familles qui en détiennent n'ont plus rien.
En juin 1848, les insurrections se multiplient à Paris. Les représailles sont terribles et la paix est rétablie au prix de nombreux morts et déportés vers l'Algérie.
 Les premiers timbres-poste apparaissent (décret du 28 août 1848) à l'effigie de Cérès, symbole de liberté et d'abondance. C'est une véritable innovation car depuis le Moyen-Age le port est payé par le destinataire et non par l'expéditeur en raison de l'insécurité des chemins.
    En décembre 1848, Louis-Napoléon est élu Président de la République. En décembre 1851, coup d'état et plébiscite : la devise "  Liberté, égalité, fraternité " doit s'effacer. En décembre 1852, le Président Louis-Napoléon Bonaparte, par un nouveau plébiscite, devient Napoléon III.
    La vie se poursuit à Villebrumier et dans ses environs. Les vignobles de Fronton et de Villaudric qui se sont développés précédemment sont touchés par l'oïdium en 1854. Le fléau s'étend à toute la région, les récoltes s'amenuisent et les revenus des vignerons en pâtissent. Vers 1878, le phylloxéra, qui ravage le vignoble français depuis 1865, apparaît. En 1885/1886, les viticulteurs reconstituent leur vignoble avec des porte-greffes américains résistant au parasite. De nouveaux traitements de la vigne apparaissent, de nouveaux outils aussi : des balais de bruyère on passe au pulvérisateur. La vigne tient une grande importance dans la région, mais trente ans de malheurs saignent les viticulteurs.
    Quelques gabares descendent encore le Tarn, mais la ligne de chemin de fer Albi-Toulouse, mise en service en 1864, marque la fin d'une époque. Cette branche des Abeilhou s'installera sur la commune de Nohic.

Et maintenant ?
    La rentrée dans le vingtième siècle se précise. La guerre de 14/18 touchera toutes les communes de France et de nombreuses familles déploreront morts et blessés.
Le vingt et unième siècle démarre : qui l'écrira ?
    En préface de son ouvrage Claudine cite France Quèré (Le sel et le vent) : "Dans ces pays où les générations restent immuablement attachées au même sol, mourir, c'est rejoindre plus d'amis qu'on n'en quitte". Cette citation est-elle toujours d'actualité ? L'attachement au terroir se ressent-il de la même façon ? Les familles se dispersent-elles plus qu'auparavant? Sommes-nous capables d'y répondre ?
    Entre-Nous , humblement, essaie de raconter la vie des gens d'ici et de tels ouvrages nous permettent d'approfondir et de connaître un peu mieux ce que furent nos aïeux…Et un "Grand Merci Claudine".

Kléber JAMME,
décembre 2004, avec des extraits de
"Le Monde des Abeilhou" conçu par Claudine AMBAYRAC et ceux qui l'ont entourée.
 
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